La stratégie d’infiltration d’anciens joueurs marseillais, mise en place par l’OM pour diminuer le PSG, commence à porter ses fruits avec la première victoire, hier soir, des phocéens contre les parisiens au Vélodrome depuis 2011

Pour contrer l’hégémonie parisienne dans le Classico, Fucknews révèle les dessous de l’opération d’infiltration de grande envergure mise en place par le club phocéen pour battre enfin le club de la capitale à domicile.

La dernière victoire de l’OM contre le PSG au stade remonte à novembre 2011.

Imaginez-vous un peu, à cette époque, Matteo Guendouzi avait 11 ans, déjà les cheveux longs bouclés, de l’acné sur le visage et il fréquentait les équipes de jeunes du PSG.

N’ayant pas l’argent mis à disposition par le Qatar pour augmenter la valeur de son effectif et tenir tête aux stars parisiennes, l’OM a eu une autre idée pour réduire l’écart qui le séparait du géant parisien : affaiblir le PSG. Comment ?

Tout simplement en infiltrant, petit à petit le pensionnaire du Camp des Loges d’anciens joueurs marseillais, en les faisant entrer dans l’organigramme du PSG.

Ainsi, ce fut d’abord Zoumana Camara qui entra dans la danse et dans le club. Aujourd’hui entraîneur des U19 du club, il oeuvre en coulisse pour empêcher les pépites formées à Paris d’enrichir l’effectif professionnel. Une seule ombre au tableau, mais il n’en est pas vraiment responsable, la percée du jeune Zaïre-Emery. En effet, ce joueur encore très jeune faisait partie de l’équipe de U17, sur laquelle Zoumana n’a pas de prise.

Ensuite, Christophe Galtier a apporté une pierre supplémentaire à l’édifice marseillais cet été en prenant le poste d’entraîneur du PSG. les effets ne se sont pas fait attendre, puisque dès le premier match des parisiens sous la houlette de Galtier à Marseille, les phocéens ont fait plié le PSG.

Crédit Photo :

Christophe Galtier : Football.ua, CC BY-SA 3.0 GFDL, via Wikimedia Commons

Zoumana Camara : Sandro Halank, Wikimedia Commons, CC BY-SA 4.0, CC BY-SA 4.0 https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0, via Wikimedia Commons